Histril,
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Histoire d'un monde
Histril sortit du néant il y a des millions d'années, comme d'autre monde la vie apparue plus tard et se dévloppa. Parallellement à ces eéspece de la surface, et sous la surface, une autre race se créa, il vivait de l'énergie des créatures pensantes qui les vénérait, ils se nommèrent les dieux...
Bien plus tard,
Avant la première phase, en une époque prospère, trois cités représentaient la culture et la connaissance de chaque espèces. Les autres cité n’étaient que de pâle copie de celles ci. Ces trois cités avaient pour nom : Eutopiarà, Kémalarià, et Glacionorà.
Eutopiarà était la cité des sirènes, elle flottait à la surface des océans de sorte que les sirènes puissent vivrent dans l’air et dans l’eau. Les habitants d’Eutopiarà étaient plutôt pacifistes, ils dépassaient de loin les autres êtres vivant par leurs connaissances et leur sagesse. Ils possédaient de puissant sort défensif leur permettant de vivre en toute quiétude. Le palais de la reine de la ville montrait que le cotés artistique de leur personnalité n’était surpassé que par leur sagesse. Eutopiarà était devenu un phare de l’art et de la connaissance.
Glacionorà, elle, était habitée par les elfes, elle se trouvait dans une plaine fertile qui lui fournissait sa nourriture et d’autre matières premières. Cette cité ne ressemblait pas à Eutopiarà, elle était calme certes mais pour d’autres raisons. En effet les elfes ont de tout temps été doué pour la magie, bien qu’ils ne soient pas belliqueux, ils appliquaient le proverbe « qui veut la paix prépare la guerre ». La puissance magique des mages de la cité étaient immensément supérieur à tous ce que l’on pourraient imaginer aujourd’hui. La ville était dirigée par un conseil de mages siégeant en haut de la plus haute tours, Glacionorà était devenu la cité de magie.
Kémalarià est la plus mystérieuse des trois, on ne sait que peu de choses sur elle et ses habitants… On pense qu’elle se trouvait à l’emplacement actuel du désert d’Elisty, mais il est fort probable que celui-ci ne soit apparut qu’après. Quand à ces habitants, d’après les documents récupérés sur le sujet, il est probable qu’ils soient les plus belliqueux des trois cités. D’après les légendes, ils ne se séparaient jamais de leurs épées souvent extrêmement puissantes, ce qui fait penser aux sages de notre époque que les siffrits soient les habitants de Kémalarià. Ceci ne reste qu’une hypothèse…
Il est dit qu’un jour les dirigeants de chaque cités, pour mettre fin aux rivalités entre cités, décidèrent d’organiser une sorte de compétition. Chaque cités devait créer la plus grande démonstrations de leurs pouvoirs. Pour cette occasion Eutopiarà, la ville flottante, créa un puissant sceptre capable de contrôler les marées et les vents du globe entiers. Glacionorà, la cité des elfes, créa plusieurs orbes permettant de contrôler les dragons de chaque espèces, tandis que Kémalarià, la dernière cité s’équipa d’un système permettent à la ville de voyager à travers les plans. Les dieux voyant que leurs créatures ne cessaient de croître en puissance mais aussi en vanitée, décidèrent de châtier cruellement leurs fils. Ils envoyèrent de nombreuses maladies, tempêtes, et autres avertissement… Les plus puissants personnages de chacune des trois citées se réunirent pour prendre une terrible décision : puisque les dieux voulaient à tout pris dominer et qu’ils commençaient à prendre peur, il était temps de s’en débarrasser… Ils s’unirent donc pour créer trois pierres contenant les pouvoirs de leurs peuples respectifs. Ces pierres furent nommée les trois pierres d’Aorià. La pierre de l'Armulise contenait les pouvoirs de défense de la ville d’Eutopiarà, la pierre de l'Oseva contenait la puissance de Kémalarià, tandis que la pierre de Magiternelle retenait la magie de Glacionorà. Pendant que les pierres furent crées en dehors des cités, les dieux décidèrent que les avertissements avaient suffisamment durés, ils passèrent donc à l’acte. Par une nuit sans lune de la période de Nelmok, les dieux firent couler Eutopiarà au plus profond des océans, des montagnes poussèrent sous Glacionorà, cependant Kémalarià étant équipé du système de voyage inter planaire, ces occupants essayèrent de la faire quitter le plan matériel. Pendant que la ville commençait à disparaître, une crevasse s’ouvrit sous ses fondations, l’engloutie, puis se referma. De sorte que la ville fut coincé entre deux dimensions.
Les dieux créèrent d’autres races intelligentes de sortes qu’elles se gênent, et évitent de devenir aussi puissantes, les nains, les gnomes, les hobbits, les orcs et surtout, la races qu’ils firent la plus nombreuse : les humains. Ces derniers étaient trop égoïstes pour s’unirent entièrement sans que l’un d’entre eux finisse par trahir, de plus leur espérance de vie étant faible, leurs constructions seraient de courte durés…
Aujourd’hui, des trois glorieuses cités, il ne reste qu’une tours émergent des montagne gelées, des ruines au font de la mer, au fond du désert on peut trouver de temps à autre une entré dans un complexe appelé le vieux castel…
Une prophétie à ce sujet :
Trois cité s’élevaient, grande, belle, puissante, et entêtés ;
Perle de lumière, joyaux de trois races, affronté les dieux était leur destiné ;
Mais leur vanité et leur fierté a chamboulée, détruit, elle à tout balayé ;
Tous cela combiné aux même impuretés chez les divinités ;
Le conflit éclata avec pertes et fracas, mortel coup de coutelas,
Horreurs, maladies et châtiments, douleurs infamies et gémissements
Tel fut la bataille, mais quand la poussière est retombée, des trois cités
Quelques débris restaient : Eutopiarà, gisant aux plus profond des océans,
De Kémelarià ne restait que quelques bâtiments battues par les sables, les vents,
Mais pire encore Glacionnerà, l’éternel, agonisait dans les neiges.
Si les dieux sont si puissants, ils n’ont puent anéantire les cités,
Il est dit en effet, que le futur les verra refondées, reconstruites et repeuplées ;
A trois elles se verront assigné la tache de créer l’équilibre,
Mais à trois elles devront être, pour recréer ce que les dieux ont détruit...
Le jeu se déroule plusieur millier d'anné plus tard, dans un aire assez troublé...