Devant le conseille des voleurs

Durguil passa la journée à regardser qui entrée et sortait du coseille, quand il fit une personne sortir qui ne paressait pas très fort .Durguil le suivit un moment puis quand ils arrivèrent tout deux dans une ruelle sombrer. Durguil sortit sa hache avança vers l' homme sui était toujours de dos et frappa.

La personn esuivit était un elfe, il partit du conseil en courant, il n'avait pas l'air très heureux de se trouver ici. Mais il partit rapidement vers les grandes avenues de la ville, semant Durguil dans la foule, alors même qu'il ignorait qu'il était suivit.

Pendant le reste de la journée ne sortirent que des groupes de personnes nombreuses et bien armés, ainsi que bien organisés.

Durguil se dit qu' il vaudrait mieux repasser le lendemain.

Durguil attendit de voir si quelqu' un de seul et qui ne paressait pas trop fort sortait du conseil

Au bout d'un petit moment, deux personne sortir, elles était armé mais ne parraissaient pas très fortes.

Durguil se mit en forme abeille et les suivit quand les personnes se séparèrent . Durguil suivit clle qui paraissaient la moins forte.

Les personnes restèrent ensemble jusqu'à entrer dans un batiment, Durguil, juste dérière eux, vit qu'il s'agissait d'une maison, personne d'autre n'était dedans.

Durgul enra s l etttendit que les deux personnes s' endorme pour les tuer

Ce que vut Durguil fut classé, puis, les deux s'endormirent, ils ne le restèrent pas longtemps, une hache en travers de la gorge à tendance à stoper le sommeil pour le remplacer par quelque chose de plus profond.

Durguil prit leurs insignes et pris ce qu' il avait sur eux et dans leurs deumeure: armes, argent, objets pouvants se revendre.

Les insignes marquaient leur rangs de voleur de bas de gamme, et la maison reflaitait pas mal cette état, un lit et une commode déglingué était le seul mobilier, et il n'avait que 20 los dans leurs habits.

Et leurs arme ?
Durguil partit pour le conseil avec 20 los de plus dans sa bourse, qu' il rengea sous son armure pour éviter de ce la faire voler.

HJ: les voleurs pas de gammes comme eux n'ont pas d'amre, ils frappent avec leur poing.

Aliçae se posta en face du conseil des voleurs, sur un toit, arc prêt. Elle regarda si une personne bien vétu sortait, et à défaut, d'autre.

Peu de monde sortit ce jour-là, et tous était en groupe, le plus petit comprenait 3 personnes.

Aliçae les suivit, elle les observa et regarda en particulier leur habit, mais elle resta toujours à distance, sur les toits.

Leurs vêtement était en piteux état, c'était plutôt des morceaux d'habits que des habits entiers. Ils se dirigaient vers le port, mais au dernier moments, ils tournèrent dans une ruelle près de la taverne au poissons. De là, un des voleurs commença à s'acharner sur la porte.



Suite: les rues (presqu'île du Mhos)

Aliçae arriva à la porte du conseil, ses armes sous sa robe. Elle montra son insigne et entra.


HRPG: c'est possible d'avoir l'accès au conseil?

On la laissa passer sans problème.


HJ: c'est fait.

Je peux voir mais pas poster!

PS: regarde ton mp

HJ: petite erreur de manip, normalement c'est bon.
et puis bonne idée.

Metalphenix arriva devant le conseil des voleurs. Il alla à la porte et demanda:
-Bonjour, j'aurai besoin d'aide pour résoudre une affaire. Je vous rassure elle ne vous concerne en rien mais on m'a mené vers vous car vous semblez être les seuls à pouvoir m'aider. Peut-on me laissr entrer ou voir quelqu'un?

La snetinelle le regarda comme on regarde une fourmi avant de l'écraser, puis lui répondit:

Vous pourrez peut-être entrez, si vous avez une autorisation, ou si vous êtes en plusieurs morceau, la tête détaché du corps...

Son collègue lacha une sorte de rire à la blague, mais il avait sorti son arme, comme l'interlocuteur de Metal.

-Vous ne me facilitez vraiment pas la tâche hein? Pourquoi vous ne me laisseriez pas voir quelqu'un, même s'il ne fait que venir ici, que je lui demande de l'aide et ensuite je repars comme je suis venu!
Metalphenix avait un peu haussé le ton sans le faire exprès, mais tous ces obstacles dûs à la bêtise des autres commençaient vraiment à l'exaspérer.