le bureau du Baron Mernos

Metalphenix arriva devant le bureau et frappa trois coups assez lents. Puis il attendit poliment la réponse, le paquet dans la poche.

*Voyons qui est enfin ce Baron qui m'a fait traversé la ville de part en part pour le retrouver...*

On lui ouvrit, c'était une jeune elfe qui lui dit gentillement:
Monsieur le baron n'est pas là pour l'instant, mais si vous voulez bien me suivre, je vais vous conduire dans l'antichambre s'il vous attends, sinon, veuillez prendre rendez-vous monsieur.

-Non je préfère attendre. Il suffira juste de lui dire que c'est important. Une histoire de paquet volé. Je pense qu'il comprendra très bien. Si vous ne comprenez pas déjà bien sûr.
IL lui sourit puis la suivit jusque dans l'antichambre.

Si vous voulez bien me donner votre nom, par contre, M le baron ne sera pas disponible avant longtemps, surtout sans rendez-vous, il est pour l'instant au conseil des nobles.

-Ce n'est pas grave, j'ai tout mon temps. Je m'appelle Metalphenix. J'ai déjà donné mon nom à l'accueil et ils sont prévenus de ma visite.
Il s'assit sur un siège.
-Voudriez vous que je fasse quelque chose pour vous aider? demanda-t-il poliment.

A vrai dire, non.

A ce moment, on sonna à la porte, l'elfe partit ouvrir, deux personne entrèrent, l'une d'elle tint Métal en joue avec une arbalète pendant que l'autre tenait une dague asez grosse sur la gorge de la secrétaire, la lame devait être effilé, car la lame, à peine posé, faisait perlé du sang.

Metalphenix parla calmement, d'un ton posé:
-Bonjour messieurs. Je suis désolé de vous dire que le Baron est absent. Mais si vous aviez laissé le temps à cette elfe, elle vous l'aurait dit elle-même...

Nous savons que le baron est absent, monsieur Metalphenix, à vrai dire, c'est vous que nous cherchons, ou plutot le paquet que vous transportez, il me le faut, et plus vite que ça.

-De quel paquet parlez vous? je suis venu pour affaires avec le Baron. Pas pour un quelconque paquet! Mais si vous y tenez, vous n'avez qu'à me fouiller!
Il s'était levé et il avait la main droite sur le katana, le sortant lentement.

-Si vous êtes si au courant, vous pouvrez donc me dire ce qu'est ce paquet et pourquoi je suis là? Et puis vous pourriez même me dire qui vous êtes avec ça! Ce serait tout de même quelques politesses.
Il ne bougea cependant pas d'un poil.

Le dire ou ne pas le dire, tel est la question.

Finalement, l'homme lui dit:
Ce paquet contient des preuves comme quoi nous aurions commis des crimes, des crimes horrible que nous n'avons évidemment pas commis. C'est le baron qui les a fait et il veut nous mettre cela sur le dos.

-Hé bien asseyez vous! Et parlons-en! C'est pour cela que je voulais le voir en personne: en apprendre un peu plus sur ce paquet. Il est scellé par magie et seul le bon mot de passe peut l'ouvrir sans déclencher un éventuel piège. Vous l'avez peut-être? Mais si c'est le Baron qui l'a fait, comme vous dîtes, je doûte que vous l'ayez...
Metalphenix montra les sièges et rangea son arme.
-Je ne veux pas de mal. Encore moins pour cette elfe qui est hors de cause...

Je ne connais pas le mot de passe, ce que j'espère juste, c'est qu'il a pris le genre de paquet qui détruit son contenu, comme cela, je n'aurais pas besoin de le faire moi-même. Au pire, le piège peut être dévié ou contré, ce qui détruit le paquet, à supposé que piège il y a.

L'homme s'assit aussi loin que possible de Metal, son compère ligota l'assistante à une autre chaise avant d'aller bloquer la porte.

Metalphenix regarda les hommes faire puis leur demanda:
-Alors? Par où commençons nous? Pour le paquet, je pense qu'il est donc piégé par un simple mot de passe. Sinon comme vous l'avez dit, le contenu serait détruit et donc inutile!

Cela serait bien, nous n'avons pas besoin de savoir ce qu'il contient, nous el savons déjà, il s'agit de fausses preuves nous inpliquant dans le meurtre du père du baron, meutre qu'il a lui-même commis pour prendre sa place.

-C'est une grave accusation! Auriez-vous des preuves de ce que vous avancez? Je précise que je ne crois pour le moment personne. Disons que je suis neutre. Lorsue j'aurais des preuves concrêtes, j'aurai alors une opinion bien fondée.
Metalphenix s'installa confortablement sur son siège et attendit.

J'était un serviteur de son père, et un de ses confidents, je nettoyais la salle attenantes qui contenait, comme le baron l'apprit plus tard, un miroir sans teint.

-J'entends bien... J'ai une idée. Peut-être que l'assistante ici présente pourrait nous en dire davantage? De plus je crois qu'il faudrait être un peu plus gentil avec elle, c'est une elfe et elle ne doit sûrement rien avoir à faire avec cette histoire...
Metalphenix s'était levé et se dirigeait vers elle pour lui ôter son baillon.

L'homme l'arrêta et lui dit:

Innocente, elle l'est moins qu'elle est secrétaire, c'est la concubine du baron, et à coup sur, elle est déjà dnas le coup.


Dérrière eux, le compaire du l'interlocuteur du Metalphenix tomba lourdement, et l'on frappa à la porte, qui était bloqué par une arme en travers de la poignée

-Pourquoi est il tombé? Il est mort?

Il avait parlé sur un ton bas.

-Je propose qu'on laisse entrer pour éclaicir tout cela.