le bureau du Baron Mernos

L'homme avait juste trébucher, il débaillonèrent et déligotaire la secrétaire, se postèrent chacun d'un coté de la porte, puis firent signe à l'elfe d'ouvrir, lui indiquant qu'il la tuerait au premier geste suspect.


C'était le baron qui rentrait, il ne se posa pas de question, il entra, accompagner de ses deux gardes, Métal allait devoir choisir son camps, tout le monde sortit ses armes, l'elfe partit dans le couloir.

-Monsieur le Baron! Enfin vous voilà! Nous vous attendions. dit-il en sortant son katana.
Puis aux gardes du baron:
-Je vous conseille de ne pas faire de gestes brusques et de vous asseoir. Ainsi, personne n'aurait à souffrir de votre bêtise. D'autant plus que Monsieur le Baron ne risque rien si vous ne tentez rien.

Aux deux compères:
-Ligotez-les pour plus de sécurité.
En se retournant vers le baron:
-Messieurs! Nous avons des explications à donner et à recevoir. J'ai ici le paquet que vous recherchez Monsieur. J'étais venu pour vous le rendre et en savoir plus sur son contenu qui m'intriguait quand ces deux personnes sont arrivées et m'ont raconté une histoire étonnante...

Malheureusement, aucune des personnes ici n'avait vraiment envie de suivre les ordres de Métal, et comme il avait l'air d'être le chef, les deux garde du corps lui courrèrent dessus. Un autre garde arriva dérrière Metal par la porte ouverte, il ne savait pas trop où il en était, il avait lui aussi sortit son arme.

-Bon. Vous l'aurez voulu...

Il asséna un coup rapide avec sa lame au premier garde puis un autre sur le second.

-Je vous conseille de vous calmer avant qu'il y ait des morts pour rien!
Il savait qu'il parlait pour rien mais au moins il aurait prévenu et on ne pourrait pas l'accuser...

L'autre garde se reprit à se moment là, il cria et une dizaine de garde arrivèrent, les deux intrus partirent par une fenêtre ouverte, Métal, lui, tua d'abord les deux garde d'un coup chacun en pleine tête (-32 et -30)

*Une dizaine de gardes? Je crois que ça fait un peu beaucoup quand même...*

Il se dirigea vers le baron et lui fit une clé de bras pour l'immobiliser et plaça sa lame sous sa gorge.
Il parla ensuite d'une voix de stentor pour bien se faire entendre de tous:
-Je répète que je ne veux de mal à personne! Je ne veux en aucun cas tuer e baron mais si vous bougez encore je le ferai sans remords!

HJ: je voit les chose en grand, mais entre une secrétaire qui pisse le sang de la gorge et un garde qui appelle à l'aide, ça fait du monde


La clé fit mal au baron et les gardes reculèrent, le baron, malgré sa position, lui demanda:
Dans quel camp êtes-vous? Et que faisiez-vous dans mon antichambre?

HJ: oui oui ne t'inquiète pas je ne t'en veux pas Je fais juste ce que mon perso ferait. ^^

Tenant toujours fermement le baron, Metalphenix lui répondit:
-Monsieur le Baron, je n'ai pas de camp. J'ai retrouvé un paquet qui vous concernait sur un voleur. J'ai donc cherché son propriétaire et je vous ai trouvé. Je suis venu en personne vous le rendre car après toutes mes recherches ce paquet m'a beaucoup intrigué. Votre secrétaire m'a donc installé dans votre antichambre. Deux hommes sont alors arrivés pour me reprendre le paquet. J'ai écouté leur histoire patiemment et vous êtes arrivés. Ils se sont donc enfuis par cette fenêtre mais je suis resté pour éclaircir cete affaire. Je vous promets que je ne veux de mal à personne. Je suis désolé pour les deux gardes mais il fallait que je me défende. Si vous dîtes à vos gardes de ranger leurs armes et de ne rien tenter contre moi, je vous relâcherai et nou pourrions alors parler comme des hommes civilisés. Ensuite...je pense qu'il vaut mieux pour vous, monsieur l Baron, qu'ils partent tout court. S'ils veulent, qu'ils restent derrière la porte et qu'ils entrent au moindre problème, mais je crois qu'ils n'ont pas intérêts à entendre nos paroles, n'est-ce pas?

Malheureusement, aucune des personnes présentes ne voulut croire Metal, car le baron était un homme puissant, et les hommes puissants ont des tas d'ennemis, Metal se retrouvait donc face à face avec 11 gardes, de races différentes, mais avec le même regard féroce, la même envie, lui enlever son otage des mains vivant.

-Baron, mieux vaudrait pour vous de calmer vos gardes...

Metalphenix ressera sa prise sur le baron pour bien lui faire comprendre que c'était vrai.

Le message passa facilement, le baron demanda que l'on envoie un négotiateur, deux gardes partirent le chercher.

Sans relâcher la prise, Metalphenix dit:
-Je vous remercie de votre compréhension, Monsieur le Baron. Je vous prie sincèrement de m'excuser et de croire que je ne vous veux aucun mal. Je veux juste éclaicir les problèmes.

Bien qu'il fut évident, pour des raisons toutes aussi apparentes, que le baron ne croyait pas trop que Metal ne lui voulait aucun mal, il réussit à articuler:
Ce n'est rien, ce n'est rien, c'est le moins que je puisse faire, tant que je suis vivant au moins.


Les gardes restant se regardèrent, parlèrent à voix basse puis trois d'entre eux partirent surveiller la porte, il refermèrent celle-ci peu après, les autre, leur arme toujours sorti, regardaient Metal d'un air plus mauvais que jamais

Metalphenix demanda, platonique:
-Et quand arrive votre négociateur? Si j'ai bien compris, baron, vous vous risquez à avoir un négociateur avec vous, comme si j'étais un criminel. Mais si vos gardes ne m'avaient pas attaqués, jamais je ne les aurai tués ni ne vous aurai fait otage.

Le négociateur arriva rapdiement, comme il se doit dès lors qu'il y a un otage, il était acocmpagné de deux gardes qui portait des arbalètes, mais avant que le séraphin puisse dire quelque chose, un grand bruit retentit dans le bureau, la plupart des garde se jetèrent sur la porte menant à celui-ci, il en restait 2, dont un possédant une arbalète.

Par la porte entrouverte, Metal put voir 2 personne encerclé autour du bureau, ainsi que deux autre qui sortait par la fenêtre, poursuivit par des gardes.

Le séraphin lui demanda ce qu'il faisait ici, accomagné de bandit, de preneur d'otage et de voleur, ainsi que son rôle dans l'histoire.

Metalphenix lui répondit, étonné par ce qui venait de se passer:
-Je suis désolé qu'on vous ai dérangé, Monsieur. Je crois qu'on vous a fait venir pour pouvoir libérer monsieur le baron ici présent. J'ai dû le prendre en otage car à leur entrée, ces gardes m'ont attaqué et je me suis défendu en en tuant deux. Puis j'ai pris le Baron en otage pour ne pas qu'il y ait plus de sang. De plus, je suis ici pour régler une affaire de paquet fermé par magie volé pour le rendre. Son contenu m'intriguait donc j'ai voulu en savoir plus dessus. On m'a fait attendre dans cette antichambre et deux hommes sont arrivés pour me prendre le paquet que je n'ai pas donné. Ils ont failli tuer la secrétaire mais il n'en est rien. Ils m'ont alors raconté une histoire très intéressante qui vaudrait la peine d'être entendu. Voilà à peu près où nous en sommes, et sur ma vie et mon honneur, je ne mens pas et ne veux aucun mal à personne dans cette pièce. Et si vous pouviez me dire ce qui se passe dans le bureau... quelqu'un vous a-t-il attaqué?

On a trouver quatres voleur dans le bureau, deux d'entre eux se sont enfuit. Mais montrez moi le paquet dont vous parlez, on pourra meut-être faire quelque chose.

Il fit un signe et tous les gardes du bureau avec leur prisonnier partirent, les laissant seul avec deux gardes.


Asseyez vous et libérez le baron, les gardes ne vous ferons aucun mal tant que vous ne vous montrerez pas menaçant.

Metalphenix relâcha immédiatement le Baron et dit:
-Je suis vraiment désolé monsieur le Baron. J'espère que cette fois tout se passera bien et j'espère pouvoir avoir confiance en vous négociateur. Vous avez sûrement un nom? Ce serait plus facile de parler si je connais votre nom.

Il sortit le fameux paquet de sa veste et regarda le baron du coin de l'oeil pour voir sa réaction. Il le garda en main et montra le cachet et le blason.
-Voyez. Le blason est celui du baron mais il est fermé par magie. Le baron pourrait donner le mot de passe pour que nous puissions voir le contenu. Mais peut-être voulez-vous que je vous raconte avant l'histoire des deux voleurs qui ont attaqués la secrétaire?

OUi, bonne idée, raonté nous donc votre histoire, sans plus attendre.

Les deux gardes se détendirent, ils s'assirent eux aussi, un à coté du négociateur, l'autre à droite du baron.

-Comme vous voudrez. Pour commencer, j'ai rendu visite à quelqu'un dans le quartier des elfes. Il était absent mais dans sa maison se trouvait un voleur. Je l'ai tué et trouvé ce paquet dans ses affaires. J'ai parcouru toute la ville pour pouvoir le restituer et l'ouvrir. Mais il est fermé magiquement donc je ne pouvais rien et personne d'autre que le propriétaire ne semblait pouvoir l'ouvrir. Je suis alors arrivé au conseil des nobles et on m'a dit qu'il appartenait au baron et qu'il donnait une récompense pour sa restitution. Mais j'ai voulu savoir ce que contenait ce paquet qui m'a posé certains problèmes et m'avait fait parcourir toute la ville! Je suis donc allé dans le bureau du braon pour le rencontrer et en apprendre plus sur le contenu. Sa secrétaire m'a installé ici car il était occupé. Puis deux hommes sont entrés donc, et ont voulu me prendre le paquet. J'ai réussi à les calmer mais ils avaient déjà blessé la secrétaire au cou. Ils m'ont alors dit que l'un deux, apparement le chef, était un serviteur de l'ancien baron, qu'il avait assisté à sa mort et que c'était un meurtre. Il me dit que le meurtrier n'était autre que son fils, le baron ici présent. Je lui demandai alors quelles pouvaient être les motivations. Il me dit alors que l'aspiration à devenir Baron, avec tous ses avantages financiers. Je reconnu au bout d'un moment qu'en effet ces motivations pouvaient être suffisantes. Je réussi à faire relâcher la secrétaire qui s'est enfuie. Puis le Baron est arrivé avec des gardes et m'ont attaqué au même prix que ces deux voleurs. Je me suis alors défendu tandis qu'ils se sont enfuis. Comme d'autres gardes arrivaient, j'ai alors dû prendre le Baron en otage pour pouvoir calmer l'assemblée et m'expliquer, et surtout enfin pouvoir mettre un peu de clarté dans toute cette affaire. Je sais que c'est une forte accusation que ces voleurs, mais d'après eux, le contenu du paquet serait la preuve de ce meurtre, car le baron a, semble-t-il, accusé ce serviteur du meurtre à sa place. Donc pour en avoir le coeur net, je pense que le baron pourrait ouvrir ce paquet et enfin rétablir toutes les vérités.

Metalphenix s'était assis en face du baron et du négociateur. Il posa ensuite le paquet devant lui, près du baron.

Le négociateur eu un air dubitatif, mais il demanda tout de même au baron d'ouvrir le paquet, le baron fit quelque chose avec ses mains et donna le paquet au négociateur qui l'ouvrit. Une fumée et une odeur de brulé envahïrent l'air, le céraphin et le garde le plus proche s'éfondrèrent dans un belle ensemble. Le baron, qui s'y attendait, sauta tout de suite vers la porte pour la fermer à clef.

Il sortit une arme assez impréssionnante et enleva sa cape, révélant une armure complète sans rayures. Il demanda au garde restant et à Metal de se rendre, bien que le garde est sorti son arbalète.

Metalphenix, qui s'était attendu à un coup fourré, avait sortit son katana. Il se jeta alors sur le baron pour lui asséner un coup latéral puissant. Il dit au garde:
-Tirez!

Le garde avait tirer avant que Metal ne le lui demande, mais son carreau fut stoppé au vol par la dague que le baron lança de la main gauche, qui se planta ensuite dans la gorge de sa cible, qiu s'écroula, inconsciente ou morte.

Le premier coup de Metal rata sa cible, mais le baron l'imita, avant de se prendre l'épée dans le ventre (-29)

Le baron sortit une autre arme, celle-ci était luminescente, elle se refléta dans les pierres précieuse de l'armure.

Metalphenix réagit au plus vite en lui lançant une boule de feu. Puis lui renvoya un coup vertical de katana, espérant au pire le désarmer.

Le baron rata Metal pendant que celui-ci lui envoya une boule de feu en pleine tête (-10 + -3 ), mais l'homme se reprit pour efoncer un coup de chacune de ses armes dans Metalphenix (-7 et -8 ) Metal se vengea d'un coup dans le bras droit, lui enlevant sa plus grosse arme, (-15 ), fendant l'armure du baron. Le baron prit son arme luminescente à deux mains.